Une étude laser sur une vignette vieille de 170 ans réécrit l’histoire de l’expédition Franklin

Le 6 décembre 2016

“L’Expédition de Franklin (1845-1848) à gauche à la recherche du Passage du nord-ouest se terminant tragiquement avec la perte de tous les membres de l’équipage. De mystère entoure leur sort ultime, avec notamment la spéculation autour du rôle de l’intoxication par le plomb.” (Christensen et coll., 2016)

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352409X16306198

Une étude menée par un groupe de scientifiques Canadiens publiée dans le Journal of Archaeological Science: les Rapports démystifie continué mythes entourant la disparition de l’Expédition de Franklin. Miniature échantillons de Jean Hartnell, membre de l’équipage du HMS Terror, a constaté que le cru longtemps cause de décès par intoxication au plomb est inexacte.

Dirigée par le Dr Jennie Christensen, un associé de Stantec et chef de la direction et Fondateur de TrichAnalytics, et en partenariat avec l’Université de la Saskatchewan, de l’Université de Victoria, l’Université d’Ottawa et le Canadien de rayonnement synchrotron (CCRS), les scientifiques ont utilisé synchrotron micro-XRF la cartographie, la technologie d’ablation laser, et l’analyse des isotopes stables pour examiner l’exposition au métal et de l’alimentation tout au long de la première expédition. L’étude a révélé que John Hartnell était chroniquement déficient en zinc, qui éventuellement ont conduit à l’immuno-suppression et en fin de compte, la tuberculose et la mort. Le Zinc joue un rôle essentiel dans le métabolisme de la vitamine A, et les carences en zinc et en vitamine A peut entraîner une altération de la fonction immunitaire et la diminution de la capacité à combattre les infections, comme la tuberculose. Comme la malnutrition et de carence en zinc peut avoir des symptômes comportementaux similaires à la toxicité du plomb, ce qui peut aussi expliquer les observations par les Inuit de comportements étranges de la part des autres membres de l’équipe plus tard dans l’expédition.

L’étude a également conclu que d’importants risques d’exposition au plomb n’a pas eu lieu au cours de l’expédition. Jusqu’à ses dernières semaines de vie, Hartnell le niveau de plomb étaient dans une bonne santé, de la gamme normale.

“Le processus de la famine de la tuberculose dans Hartnell a entraîné exponentielle de la libération d’précédemment stocké à conduire à partir de ses os dans le sang. Les concentrations de plomb ont été seulement élevé et en augmentation à la fin de sa vie, quand il était déjà probablement près de la mort. C’est ce qui explique pourquoi précédente, les chercheurs ont découvert de fortes concentrations de plomb dans les tissus mous; cependant, ils ont conclu à tort que c’était dû à la récente exposition”, explique le Dr Jennie Christensen.

“C’est une demande de la pointe de la science, à l’interface entre l’archéologie et de médecine légale, de résoudre un des 170 ans de mystère. Jennie Christensen et son équipe sont à féliciter sur un grand morceau de travail”, explique le professeur Chris O’Chasse, co-éditeur de la revue Journal of Archaeological Science: Rapports, qui a publié les résultats de l’étude aujourd’hui.

Le financement pour cette étude a été fourni par Stantec et CLS. Stantec programme de Recherche et Développement, Greenlight pris en charge le financement et le développement d’une méthode pour appliquer Ablation Laser ICP-MS pour l’analyse afin de déterminer les métaux d’exposition chez les mammifères.

L’université de Victoria chercheur Jody Spence utilisé le Laser d’Ablation de l’outil pour analyser l’exposition aux métaux dans les échantillons. L’université de la Saskatchewan (U de S) scientifiques Joyce McBeth de Nicole et Sylvain utilisé synchrotron micro-XRF de la cartographie à la Canadian Light Source afin d’évaluer la contamination de l’environnement dans l’ongle échantillons. Hing Homme (Laurie) Chan utilisé l’analyse des isotopes stables de l’Université d’Ottawa pour évaluer les sources de protéines dans Hartnell de son régime alimentaire. “Nos données avec le synchrotron a permis de déterminer si les métaux dans les vignettes ont été de Hartnell du régime ou de la contamination de l’ongle tissus à partir de sources environnementales telles que la poussière de charbon sur le navire,” dit U de la S sciences géologiques chercheur Joyce McBeth. “Cela nous a fourni de l’information dont nous avions besoin pour valider Jennie quantitative de laser analyses.”

“C’est un excellent exemple de ce qui arrive à la lumière de la source d’installations scientifiques de différentes disciplines se réunissent sous un même toit, de faire de la bonne science pour résoudre les grands problèmes et, parfois, les grands mystères de ce genre”, dit le Dr Rob Agneau, chef de la direction, centre Canadien de rayonnement synchrotron.

“L’Université d’Ottawa est heureux d’appuyer Chaire de Recherche du Canada Dr Laurie Chan, dont la pointe de la toxicologie et de la recherche en santé environnementale a aidé à résoudre l’un des nationaux du Canada mystères”, dit Mona Nemer, Vice-Président de la Recherche.

Les deux navires qui se sont lancées dans de l’expédition de Franklin, le HMS Erebus et le HMS Terror, ont été découverts dans le Nord du Canada en 2014 et 2016, respectivement. La Fiducie du Patrimoine Inuit et le Musée Canadien de l’Histoire à condition de John Hartnell le pouce et ongles d’orteil pour le groupe de recherche pour l’étude.

L’intégralité du Journal de la Science Archéologique: les Rapports de l’article peut être trouvé ici: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352409X16306198